Fondé en 1966 par Claude et Irène Caillé, le zoo ne comptait, à ses débuts, qu’une soixantaine d’animaux sur trois hectares. Pourtant, dès le départ, c’est une vraie réussite, avec près de 130 000 visiteurs enregistrés quelques mois seulement après l’ouverture du parc.

 

Les clés de ce succès qui ne se dément pas depuis plus de 50 ans ?

 

Le zoo est resté une entreprise familiale qui n’a cessé de croître et embellir au fil des ans. Il est devenu un site d’exception et un élément phare du patrimoine sentimental de la région. Il s’étend aujourd’hui sur une forêt de pins de 18 hectares et rassemble plus de 1 600 animaux, dont une colonie bruyante et colorée de flamants de Cuba et un groupe de girafes qui accueillent dès l’entrée les 600 000 visiteurs annuels du zoo.

 

Grâce au suivi rigoureux de la reproduction au sein des groupes ainsi qu’au soin apporté à l’alimentation et au bien-être des animaux, le parc enregistre régulièrement de nombreuses naissances : 200 à 250 chaque année !

 Un Zoo engagé

 

Le Zoo de La Palmyre est également devenu un haut lieu de conservation des espèces menacées de disparition : il participe à plus de 50 Programmes d’Elevage Européens et finance une vingtaine de programmes de préservation d’animaux en danger sur 3 continents (orangs-outans et éléphants à Bornéo, manchots du Cap en Afrique du Sud, lémuriens à Madagascar, gorilles et chimpanzés En RDC, lycaons au Zimbabwe, tamarins lions au Brésil…). Il compte parmi les rares parcs zoologiques à financer la protection dans la nature de l’ensemble des sous-espèces de gorilles et il a d’ailleurs aménagé en 2009 un vaste complexe de 3 hectares pour héberger ses grands singes : gorilles, orangs-outans et chimpanzés.

 

Le Zoo de La Palmyre c’est enfin une équipe de 55 employés à l’année (dont une quarantaine de soigneurs animaliers) renforcée par autant de saisonniers l’été.